
Le blog du Studio
Saint-Valentin : et si on célébrait l’amour 365 jours par an ?
Qui dit février, dit Saint-Valentin
Pour tout vous dire, quand en janvier j’ai commencé à voir des posts Instagram à ce sujet je me suis dit « quoi, ah mais c’est en février la Saint-Valentin ? » : il m’a réellement fallut de bonnes grosses secondes pour essayer de replacer cette fête dans l’année. Pourtant, l’amour j’aime ça. Je suis romantique et fleur bleue. Complètement amoureuse de l’amour – et de mon amoureux bien sûr.
Je ne suis pas là pour jeter la pierre à ceux qui fêtent la Saint-Valentin ni pour rabâcher l’éternel « mais c’est une fête commerciale ». Au contraire, aujourd’hui je voudrais vous encourager. Je trouve ça bien qu’il y ait des moments dans l’année consacrés aux différentes formes d’amour : la Saint-Valentin, les anniversaires, la fête des mères et celles de pères, mais aussi des grands-parents, Noël et bien d’autres encore. Mais ce n’est pas parce que ces célébrations existent que vous devez vous sentir obligé d’y participer, ni vous sentir exclu parce que vous ne les fêtez pas.

Quand on veut, comme on veut
Célébrons l’amour un peu tout le temps. Quand on en a envie et comme on en a envie. Nous ne sommes pas obligés de passer par la case restaurant/cadeau. Il peut s’agir d’une petite attention, d’un détail et surtout je pense de penser et de dire à l’autre qu’on fête l’amour. C’est cet état d’esprit qui fait tout : le moindre fragment de temps pourra alors se convertir en célébration de l’amour.
Je pense qu’en gardant cet idée en tête, on se rend compte qu’en fait l’amour est souvent fêté. On a un nouveau regard sur des gestes du quotidien et chacun a sa manière propre de montrer son amour dans les détails. Il s’agit des moments partagés, des petits mots échangés, des plans pensés, des regards et des sourires échangés. Il s’agit de tout ce que vous pouvez faire ou penser, et cela peut être différent selon les personnes, selon les couples. Apprenons à reconnaître ces moments d’amour qui nous sont propres et nous nous rendrons mieux compte qu’on le fête tous les jours.